
📆 Ce samedi 12 avril 2025 restera gravé dans ma mémoire. Ce jour-là, avec la Fédération MRD-France, on s’est rassemblés près de l’ambassade de Djibouti à Paris. Objectif ? Dénoncer le régime autoritaire de Djibouti, ses injustices et son mépris pour la liberté.
Mon coup de gueule devant la foule
J’étais là, parmi eux. Quand j’ai pris le micro, mon cœur battait fort. Pas de peur, mais de colère… et d’espoir. J’ai hurlé : « Libérez Abdoulkarim Aden Cher ! Libérez tous les prisonniers politiques ! ». Autour de moi, des drapeaux, des pancartes, et des visages djiboutiens déterminés. On s’est sentis unis, comme une famille. J’ai appelé à la solidarité, à ne jamais abandonner.
Une foule déterminée, venue de loin
Près de 50 militants sont venus de toute la France. Ensemble, on a dénoncé :
- La mauvaise gestion du pays, qui laisse les gens dans la misère.
- Les hôpitaux en ruine, où même soigner un enfant devient dangereux.
- Les droits humains bafoués par le président Ismaël Omar Guelleh.
Des histoires qui brisent le cœur
Dans nos discours, on a partagé des drames récents :
➔ Le petit Kassim : Le 29 décembre 2024, à l’hôpital Peltier, une circoncision a mal tourné. À cause d’une erreur du Dr Perez (un médecin cubain), l’enfant a perdu son gland. Comment un pays peut-il laisser ça arriver ?
➔ La mort mystérieuse de Djamal Hassan Abdi : Le 4 avril 2025, le garde du corps du président est mort dans des circonstances étranges. Encore un secret du régime…
Abdoulkarim, symbole de la résistance
On a tous répété son nom : Abdoulkarim Aden Cher. Emprisonné pour avoir dénoncé la corruption, il est devenu un héros. Même l’ONU l’a dit le 21 mars 2025 : sa détention est politique et illégale. Il mérite la liberté, pas une cellule !
Notre promesse : continuer le combat
Ce jour-là, on s’est juré une chose : ne jamais se taire. Rester solidaires, partout, toujours. Refuser la peur, refuser de fuir. Car comme on le chante souvent : « Seule la lutte libère ! »

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